Retour sur l'édition spéciale des Napoleons à Marseille
Avant que les Napoleons ne reprennent le chemin d'Arles en juillet prochain, la communauté s'est retrouvée du 26 au 28 mai dernier à l'occasion d'une édition 100% marseillaise. On a posé 4 questions à Mondher Abdennadher et Olivier Moulierac, organisateurs de l'événement, pour en savoir plus sur cette édition organisée en présentiel.
Publié le 09/06/2021 à 11:11, mis à jour le 28/06/2021 à 12:31.
Alors cette édition de Marseille, qu’en retenez-vous ? Si vous devez retenir une prise de parole, laquelle ? Une phrase spécifique qui vous a interpellé ?
C’était un évènement inespéré et tant fantasmé, comme un cadeau du ciel ! Tous les astres étaient alignés : un temps de rêve, un set up magnifique, des talks époustouflants de puissance et d’émotion, et une alchimie incroyable entre les participants.
La prise de parole de notre invité d’honneur Forest Whitaker annonçait la couleur de ce sommet. Il a mis en lumière l’importance de l’éducation et de l’insertion des jeunes à travers son engagement au sein de sa fondation WPDI et une des punchlines a été pour moi : « Emancipation goes both ways, transforming both sides. We need to relearn how we are all related. We are one. »
Décryptons les enjeux, comparons les vécus. En terme quanti d'inscriptions, en terme quali de satisfaction participants ? Satisfactions speakers ?
Nous comptions 370 inscrits avec un excellent mélange de parisiens et de gens sur place. Après tous ces mois de pandémie/confinement, les participants étaient ravis de se retrouver enfin « en chair et en os » sous le soleil pour un sommet exceptionnel et inspirant. L’éditorial était varié et incarnait parfaitement le thème de l’Emancipation et tous ses prismes. Les speakers aussi étaient heureux de reprendre « en présentiel ». Ils étaient devant une audience captive, réceptive, émue et émancipée.
Avez-vous un regret à exprimer ?
Peut-être les speakers sur l’Emancipation qui étaient disponibles et bookés pour notre sommet à Val d’Isère en janvier (qui n’a pas pu avoir lieu) et qui n’ont malheureusement pas pu être présents à Marseille à cause de contrainte d’agenda.
Arles c’est déjà dans 5 semaines ? Quel message voulez-vous passer au marché avec ces deux events aussi rapprochés ?
Il faut toujours s’autoriser à « rêver grand » (autre punchline du sommet) car si on ne s’adapte pas, si on ne se réinvente pas, on disparaît.